
Le premier sens est l'odorat, puisque je lis toujours accompagnée de l'arôme d'une tasse de café matinale. Ensuite, je lis principalement sur mon balcon qui face face à des travaux de réfection. Ma vue erre donc souvent sur l'immeuble en face, surtout lorsque le volume tonitruant de la radio m'extirpe des pages de Frankenstein. Finalement, la lecture du roman est aussi associée à l‘ouïe; une cacophonie est toujours en toile de fond.
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